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De Résilience des Territoires
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1.Financement Cout globale : 80K Part financement ADEME 50% : 40K Auto-financement main d’œuvre : 40K 1/Expérience immersive : 60K Designeurs (conception prototypage) : 25K Matériel 15K Accompagnement/animation/pilotage LyRE : 20K 2/Planspiel : Accompagnement/animation/pilotage/réalisation LyRE 20K Organisations utilisatrices : non rémunérées  +
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Plan de financement : [[https://wiki.resilience-territoire.ademe.fr/wiki/Fichier:Plan_de_financement_2L30.xlsx]] Chronogramme : [[https://wiki.resilience-territoire.ademe.fr/wiki/2L30]] '''DETAIL DU FINANCEMENT''' Le budget envisagé pour le projet proposé est de 290 000€ sur 1 an pour développer la phase 1. Le financement demandé est de 50 000€ soit 17% de taux d'aide. Les partenaires apportent un autofinancement à titre d'investissement dans ce commun. '''JUSTIFICATION DE L'ELIGIBILITE''' - le porteur a un statut juridique lui permettant de recevoir des aides publiques : Le pole Métropolitain du Sillon Lorrain est un syndicat mixte d'EPCI. - Les ateliers et conférences seront documentés et accessibles à tous (open data). - Pour la plateforme, l’outil sera développé en open source. La licence sera GNU Affero General Public License . Il s’agira d’un POC développé avec les acteurs publics et privés du territoire afin de s’assurer que le projet corresponde aux attentes et besoins de tous. '''FINANCEMENT POST APPEL A COMMUN''' Le projet est un point de départ pour construire une stratégie durable, distribuée et profondément collaborative sur le territoire. Si le projet est retenu par l'ADEME, il pourra être auto suffisant pour un minimum de 3 ans. 2L30 est un commun structurant permettant de créer de nombreux autres projets connexes. Les partenaires de 2L30 rechercheront donc des financements complémentaires auprès de collectivités ou d'organismes nationaux pour structurer ces projets complémentaires. L'objectif est avant tout de développer le nombre d'utilisateurs et de contributeurs afin que les projets, pour lesquels nous chercherons ensuite collectivement des financements, puissent répondre à de vraies problématiques de résilience et bénéficier à l’ensemble de l’écosystème. Le modèle de développement du commun est pour l'instant de prouver l'efficacité de sa méthode. Le financement sera complété au fil des opportunités de projets (contrat privé ou marché public) ou grâce à des AAP ou AMI (aides publiques).  
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Le financement permettra de développer le site et de financer l'envoi de Stop Pub gratuitement à raison d'un forfait de 1,90€ par envoi (pour 1 à 10 Stop Pub)  +
Le coût total de développement du projet est de 65 000€. Le financement sollicité auprès de l’ADEME atteint un montant de 42 000€, soit 65% environ du montant total. L’approche par « stratégie de business durable » (sustainable business strategy), bien qu'étudiée et mise en pratique aux Pays-Bas, n'a pas à notre connaissance d'approche similaire en France. Plusieurs concepts s'en approchent, mais la vision systémique et l'aspect amélioration continue par une approche méthodologique intégrant le financier n'est pas retrouvée en France. Les frais envisagés sont les suivants. Ils sont, peu ou prou, présentés dans l'ordre d'intervention des acteurs : * Ingénierie environnementale, gestion et conception (outil, conseils, recherche, partage en ligne, détails des approches...) : 500€ HT / jours x 80 jours = 40 000€ HT * Conseil développement durable (Conseils, recherche, partage en ligne, détails des approches...) : 500€ HT / jour x 5 jours = 2 500€ HT * Alimentation de la base de données et validation par des professionnels de divers domaines : 6 500€ HT * Graphisme : 4 000€ HT * Intégration : 2 000€ HT * Conception web : 1 500€ HT * Accessibilité web (W3C, WAI, multilinguisme...) : 3 500€ HT * Administration serveur : 500€ HT * Alpha test de la méthodologie : 1 500€ HT * Accompagnement d'une structure (Bêta test de la méthodologie) : 3 000€ HT Grâce au financement, nous fournirons un livrable au bout d'un an et demi. Cela n'inclut pas la communication, mais bien un outil fonctionnel en licence CC0 1.0 universel (CC0 1.0), transfert dans le Domaine Public. La plateforme sera entretenue par l'association "De la graine à l'humus". Bien que la version 1.0 sera totalement utilisable, avec des retours d'expériences et des expressions d'acteurs, il pourra être envisagé une version 2.0 par la suite. Nous souhaitons un outil multilingue à moyen terme, pour profiter des contributions de l'étranger, car le problème environnemental est global, de même, le vivre mieux est aussi un concept transposable à l’international. Des contributions de l’étranger permettent de considérer des actions qui ne sont pas forcément mises en avant en France. Ainsi, il sera envisageable de se tourner vers un financement européen pour une potentielle version 2.0. Pour le financement post-appel à projet, nous serons sur plusieurs formes, assez classiques au sein des projets libres. Ainsi, des formations en ligne payantes pourront être proposées aux utilisateurs avancés ayant des pratiques professionnels de cet outil. Nous pourrons développer des ajouts de fonctionnalités sur demande contre rétribution, ajouts disponibles pour tout le monde par la suite. Le mécénat d’utilisateurs professionnels sera également possible. Les productions libres font aussi appel au bénévolat : * Nous travaillons aussi avec des traducteurs bénévoles de "Translation for progress". * Les utilisateurs, incluant ceux utilisant la base de données dans un autre cadre, auront aussi un intérêt à faire des retours, afin d’augmenter la qualité des documents et données qu’ils récupèrent. * Un professionnel dont le métier est nécessaire à la mise en place d’une action peut aussi voir son intérêt à participer, par la promotion de son activité. * Enfin, le projet restera ouvert aux contributeurs (informaticiens, professionnels…). L’association s’engage sur 5 ans (a minima) de suivi et d’animation de ce projet.  
L'actuel budget prévisionnel (couvrant jusqu'à mi-2024) prévoit avec l'AAC un budget total d'environ 120 000€ soit une contribution de l'AAC à hauteur de 50% du budget total. Le financement hors AAC provient de différentes sources : pour majorité EGIS mais également du LAET à Lyon (Laboratoire Aménagement Economie des Transports) et de la société OuterLoop Consulting.<br> La communauté prévoit d'ores et déjà des solutions de financement au delà de cette échéance mi-2024 à travers de nouvelles contributions des 3 partenaires déjà présentés. Des pistes supplémentaires sont également étudiées notamment à travers d'autres bureaux d'études qu'EGIS, désireux de contribuer ou faire développer des fonctions actuellement non-prévues dans la roadmap de développement. Ces futurs soutiens n'ont toute fois pas encore été quantifiés.<br> Les partenaires EGIS et OuterLoop prévoient déjà une tâche de contribution lors de l'usage de cette solution pour la réalisation d'études de projets de transports pour des bailleurs de fonds, participant ainsi au maintien d'AequilibraE. (non comptabilisé dans le budget prévisionnel)  +
Coût global du projet : 40000 euros HT Part financement ADEME : 70% Montant demandé : 28000 euros HT Autofinancement dixit.net : 12000 euros HT Temps passé interne [dixit.net](http://dixit.net) : 35000 euros HT Autres contributeurs : Non rémunérés Organisations utilisatrice : Non rémunérés Coûts techniques : graphisme, prototypage, production, communication, déplacements : 5000 euros HT Etapes à financer (taux jour 500 euros HT): - Etat de l’art, collection des fragments du futur nécessaires à la composition des scénarios prospectifs (variables et hypothèses d’évolutions à combiner) > 10 jours, 5000 euros - Construction d’un premier prototype, compatible avec n’importe quel scénario de prospective territoriale, et à destination des décideurs publics > 20 jours, 10000 euros - Phase itérative de tests, retour d’expérience des participants et des animateurs, et évolutions de l’outil > 30 jours, 15000 euros - Formalisation de la V1 + rédaction de la documentation de l’outil > 10 jours, 5000 euros Financement/modèle économique post Appel à communs : diffusion et utilisation gratuite.  +
==== Montants prévisionnels demandés ==== * 5 000 € pour le Média : géolocalisation des initiatives présentes du média / 3 mois de travail d’animation (recrutement d'un stagiaire) + 1 semaine de développement + un plan de communication dans les médias et réseaux budget prévisionnel : 10 000 € * 27 000 € pour la plateforme PlAce à L'Acte : création d'une V2 avec un temps plein pour la coordination pendant 9 mois (cahier des charges, plan de financement, partenariats, suivi…) + développement de la plateforme (1 mois) + test auprès du grand public + lancement de la communication budget prévisionnel : 48 700 € * 38 000 € pour Lanceur d’avenir : 1 temps plein sur l’animation de la communauté pendant 12 mois + finalisation de la plateforme d'échange (2 semaines) + 1er atelier de travail avec les pionniers+ mise en œuvre du premier projet de bien commun de la communauté + tournage de films de présentation du projet + intégration de nouveaux pionniers budget prévisionnel : 67 400 € * 8 000 € pour les indicateurs : diagnostic partagé de l'existant + test des indicateurs (sur les projets de la plateforme Human for Impact et dans un territoire bêta-test en partenariat avec Colibris) + mise à jour des projets du média avec la grille d'indicateurs + partenariat avec Ecocert sur les indicateurs + rédaction-publication (avec le LABE) budget prévisionnel : 14 600 € Total des dépenses du projet: 140 700 € avec le détail des dépenses par poste : - Moyens humains (interne et externe) : 109 200 € - Développement web : 14 500 € - Frais d'organisation d'atelier : 2 000 € - Production de films et communication : 15 000 € Montant total de la subvention demandée : 78 000 € Nous avons également réalisé une demande de financement d'un montant de 20 000 € à l'appel à projets de la Fondation de France "Réinventons nos communs pour amplifier la transition écologique". Nous travaillons par ailleurs à consolider notre modèle économique autour de l'accompagnement des pionniers des solutions citoyennes. ==== Financement post-appel à communs ==== * auto-financement par notre coopérative SCIC et sa fédération de pionniers * bénévolat pour une partie de l’animation des outils et la maintenance * sponsoring et partenariat avec des territoires pour la plateforme * demande de certification Qualiopi (courant 2022) pour l’accompagnement des pionniers Lanceur d’avenir  
== Financement == Le budget prévisionnel 2024 prévoit avec l'AAC un budget total de 195 000€ soit une contribution de l'AAC à hauteur de 50% du budget total. Le financement hors AAC provient de différentes sources de l'autofinancement par les membres de l’Alliance pour la renaturation des villes en leurs fonds propres et des revenus générés par les ventes de prestations issues l'alliance (correspondant à 10% du chiffre d'affaires réalisé grâce à l’Alliance et reversé à l'Alliance pour couvrir l'autofinancement du projet)<br> <br> Le budget sera réparti entre les membres de l'Alliance en fonction de leurs contributions aux différentes équipes : <br> *Équipe Animation communautés et commerciale - Natural Solutions, Îlõ-Nepsen, UrbaSense *Équipe Gouvernance - Natural Solutions, Société Forestière *Équipe Communication - tous les membres *Équipe Standardisation - tous les membres <br> <br> La communauté prévoit d'ores et déjà des solutions de financement au-delà de cette échéance de fin 2024. En effet nous prévoyons de travailler sur un modèle d’affaires prévoyant 4 types de ressources :<br> *Une prestation d’installation et d’intégration de la solution dans les collectivités *Un abonnement annuel pour la maintenance et les mises à jour *Des prestations d’accompagnement, assistance à maitrise d'ouvrage, conseil et formation *La réponse aux appels d’offres ou AAP (inventaire et diagnostic du patrimoine arboré, développement de nouvelles fonctionnalités, etc…)  +
Le coût du projet est de 81 632 €, intégrant : * les coûts de personnel (2398 heures, avec un coût horaire moyen de 27,63 € qui sera détaillé par profil lors du dépôt du dossier) * les frais de structure de l'ordre de 25% pour Someware et Jungle Bus * les frais de déplacement (800 €) * les frais de serveur (650 €) * les frais de sous-traitance (600 €) pour la mise au point de supports de communication / charte graphique pour mobiliser la communauté OpenStreetMap <br> Plus précisément, les temps qui seront passés par chaque structure sont les suivants: * Someware : 1457 heures * Jungle Bus : 656 heures * Florent Morel : 285 heures <br> Pour financer ces travaux, chaque partenaire est prêt à assurer un auto-financement de 31-32% du montant total (25632 €), pour une aide globale demandée de 68-69% (56K€). <br> A l'issue du projet, nous chercherons à capitaliser sur l'expérimentation réalisée avec les territoires de l'eXtrême Défi en nous adressant à d'autres territoires, sur des thématiques touchant aux véhicules intermédiaires mais aussi plus généralement aux aménagements cyclables. <br> Notre offre intégrera un accompagnement/sensibilisation sur le sujet, une assistance méthodologique et l'utilisation des outils conçus dans le cadre du projet pour aider à définir les priorités d'aménagement. Un accompagnement sera aussi proposé pour l'amélioration du référentiel de données, notamment via la mobilisation de la communauté OpenStreetMap et l'animation d'une démarche de collecte de données.  +
Le budget prévisionnel, pour une durée de projet de 12 mois, s'élève à 65 000 €. Les dépenses associées portent uniquement sur des dépenses de personnel (salaires pour environ 300 jours.homme) de la société Tellae. Ce budget prévisionnel n'inclut pas les contributions des partenaires académiques (Université Gustave Eiffel et IRT System X) bénéficiant de financements par d'autres dispositifs. L'Université Gustave Eiffel est un partenaire direct de Tellae. Une convention lie les deux organismes depuis 2022 et jusqu'en 2027. Le financement de ces dépenses est établi de la manière suivante: * Aide apportée par l'Appel à Commun : 45 000 € (environ 70% du budget total) ; * Autofinancement Tellae : 15 000 € (études et licences logiciel SaaS) ; * Crédit Impôt Recherche : 5 000 €. <br> Au-delà de la période du projet, Tellae financera sa contribution aux communs grâce à la commercialisation d'études, de licence logiciel SaaS et de développements sur-mesure autour des logiciels. Les partenaires académiques poursuivront leurs contributions en s'inscrivant dans leurs programmes de recherche.  +
Le budget prévisionnel s'élève à '''100 000 €'''. Soit : * Organisation et animation des 4 balades : 40 000€ * Design, mise en récit(s), diffusion de fanzine : 25 000 k€ * Organisation d’une assemblée de capitalisation : 5 000€ * Animation du "commun de proximité” (tiers-lieux) : 10 000€ * COPIL avec le territoire d’expérimentation : 10 000€ * Coordination du comité inter-institutions : 5000€ <br> Pour 2024, le consortium sollicite un financement à 100% de l'ADEME, au titre d'une recherche en émergence (cf. le document [https://agirpourlatransition.ademe.fr/entreprises/sites/default/files/Recherche,%20Développement%20ou%20Innovation%20-%20Conditions%20d%27éligibilité%20et%20de%20financement.pdf Conditions d’éligibilité et de financement : Projets de recherche, développement ou innovations]). Afin de garantir la dissémination des résultats, il est envisagé de poursuivre le développement au-delà de 2024. Cela passera par sa réplicabilité sur d’autres communes de la Région Hauts-de-France qui pourrait faire l’objet d’une coopération, avec les porteurs de projet et un groupement d'agences publiques (dont la DR ADEME HDF).  +
Les candidats sélectionnés à l’issue de l’appel à projets pourront bénéficier d’une subvention d’investissement. Quel que soit le projet, les taux d’aide applicables sont ceux prévus par le régime cadre exempté SA.58995 relatif aux aides à la recherche, au développement et à l’innovation (RDI). Ainsi, en fonction de la taille de l’entreprise et de la nature de son projet, ce taux sera compris entre 25% et 70%. Cette subvention constitue une aide ponctuelle à l’amorçage, ou au changement d’échelle du projet, qui n’a pas vocation à être poursuivie sur plusieurs années. La Ville de Paris, dûment autorisée par la convention conclue avec la Région Ile-de-France le 5 août 2021, peut financer des aides aux entreprises dans le respect du règlement d’intervention « INNOV UP ». L’enveloppe globale de l’appel à projet est dotée en 2022 de 500 000 euros. Le montant minimum demandé par un candidat est de 30 000 euros. Le montant maximum demandé par un candidat est de 80 000 euros. Le montant de la subvention est calculé à partir des dépenses H.T. pour les structures assujetties à la TVA et des dépenses T.T.C. pour les structures non assujetties à la TVA. Les projets doivent être réalisés dans les 12 mois (la date de signature de la convention faisant foi).  +
Effort total estimé : 180 K€ dont 50% par l'ADEME : optim.aize : temps homme 60K€ auto-financés (UI/UX, développement, Back-End et Front-End, brique de mise à jours des couches de données publiques (IGN, cadastre, etc...), apport de l'applicatif existant et la maintenance de l'application 2 ans) ; parallèle 45 : temps homme 30K€ auto-financés (apports métier sur les OLD et le géo-foncier, aide au déploiement et interface avec les acteur publiques) ; CDC Médoc Atlantique : apport en données, cas d'usage, moyen humain ; commune de Sainte Hélène : apport en données, cas d'usage, moyen humain ; recyclerie du SMICOTOM : apport en données, cas d'usage, moyen humain, déploiement et expérimentation ; ADEME : aide financière proposée 90K€ qui permettraient de renforcer l'équipe de développement pour la prise en charge des besoins liés à l'entraide entre administrés, chat bot adressant les FAQ (questions les plus fréquentes), la gestion de déchets verts pour les administrés et la relation avec les acteurs de collecte, notamment pour la portabilité de l'application (mobile) et de création de l'expérience utilisateur (UX/UI) + test sur un échantillon / démonstrateur local puis national.  +
L'association recherche des financement pour couvrir ses frais de développement. Ses frais de fonctionnement s'élèvent à 2300€ TTC en 2022 et 1300 € TTC en 2023, couverts par les dons. La totalité des dépenses de l'association est listée sur [https://carbonfight.notion.site/Association-1e328d25b2434fce9e016da995e9a810?pvs=4 son espace Notion]. Elle bénéficie de nombreux intervenants en mécénat de compétence depuis juin 2023. Le montant des dons associés au mécénat de compétence seront connus début 2024, et est estimé entre 30 et 50 K€. L'association recherche des fonds à hauteur de 10 K€ HT afin d'accéder à des prestations intellectuelles sur des expertises techniques (développement front & back), direction artistique, et pour démarrer une campagne Adwords début 2024 afin d'atteindre son objectif en terme de téléchargements (50K au 1er semestre 2024).  +
== '''Le cadre général, les tâches dans le projet''' == (voir détail dans la partie 4, Actions, Livrables, planning) Alters, Académie de l’IE, Cerema et Résallience ont lancé le 11 mai un projet « '''Approche globale, résiliente et solidaire face aux grandes mutations''' » qui vise à élaborer une méthodologie d’Approche globale, résiliente et solidaire, un Observatoire de la résilience et la solidarité, un Campus et un Livre Blanc. Ces résultats seront versés dans le domaine public sous licence Open Source. En parallèle, ils répondent à l’Appel à Communs de l’ADEME, en proposant de réaliser les mêmes objectifs. Comme il a été indiqué certaines dimensions relèvent de l’Appel à projets et des missions de l’ADEME, d’autres sont complémentaires mais indispensables pour atteindre un résultat cohérent et conforme aux besoins. C’est pourquoi nous mènerons le projet dans sa dimension globale, et ne demanderons le financement de l’ADEME que sur les parties qui relèvent plus spécifiquement de la mission de l’ADEME. Le commun bénéficiera néanmoins complètement des résultats du projet Global, qui seront eux aussi versés dans le domaine public. '''Précisons ces points !''' Le travail comportera : * '''Une partie centrale''''''', comprenant l’élaboration de # la Méthodologie globale, résiliente et solidaire, # et l’Observatoire de la résilience des territoires et des entreprises ; * Une '''partie d’analyses plus spécifiques''''''' : # 1/ Le potentiel de l'écologie ; place des sciences et des technologies ; # 2/ Capacités individuelles et gestion de Communs, clés des transformations ; # 3/ Place de la santé dans la société ; # 4/ Le social, le politique et la gestion des conflits, du local au mondial ; (voir partie 4) * '''La rédaction du Livre Blanc''''''' et '''la préparation du Campus'''''''. La partie centrale relève évidemment du champ de l’ADEME puisqu’il s’agit d’élaborer la démarche pour mettre en œuvre les Objectifs du Développement Durable (ODD). Une partie des analyses spécifiques rentrent bien sûr aussi dans le champ des missions de l’ADEME, notamment les réflexions sur Le potentiel de l'écologie, des sciences et des technologies et sur le développement des capacités individuelles et de management de Communs, clés des transformations La demande de financement du Commun ne portera que sur ces questions relevant de l’ADEME. Mais le Commun utilisera tous les résultats des travaux du projet Approche globale, résiliente et solidaire, qui associeront les aspects liés au social, à la santé, à l’économie et la sécurité. '''== Description de l’action ==''' Les actions, leur planning et livrables sont synthétisées ci-dessous pour expliciter la demande de financement et présentés en détail dans la partie 4 Tableau page 5 sur https://wiki.resilience-territoire.ademe.fr/wiki/Fichier:Approche_Globale_R%C3%A9siliente_et_Solidaire_pour_les_territoires_et_les_entreprises_V3.pdf === Travail théorique (méthode et analyses spécifiques) === Le travail théorique (Méthodologie d’Approche globale, résiliente et solidaire) vise à relier tous les aspects économiques, sociaux, écologiques du pilotage des Entreprises et des Territoires, dans leurs liens aux grandes mutations, pour réaliser les objectifs globaux de résilience et de solidarité. Son contenu sera détaillé en partie 4 mais en résumé : pour que territoires et entreprises puissent prendre en compte globalement des objectifs économiques, sociaux, et écologiques il est nécessaire d’en faire des représentations ou modélisations, de représenter leurs performances et leur résilience dans ces domaines, dans le contexte des risques climatiques, sanitaires, écologiques que les mutations entrainent. Cela passe par un travail théorique, des enquêtes et cela conduira à l’identification de données et d’indicateurs, c’est-à-dire d’un Observatoire de la Résilience des entreprises et des territoires. Ce travail théorique se déroulera en trois phases : une première phase de '''conception générale''' de la méthodologie donnera les grandes lignes (présentation décembre 2021) ; une seconde phase de '''conception détaillée''' (présentation juin 2022) ; une 3ème phase de rédaction sous forme de '''Livre Blanc'''. Ce travail sera mené par l'équipe projet avec l'assistance de stagiaires qualifiés (niveau bac +5 minimum) === L’Observatoire de la Résilience === Le travail de terrain lié à l’Observatoire de la Résilience et la solidarité vise à articuler les actions de trois types d’acteurs (entreprises, territoires et société) et les projeter sur trois échelles spatiales (local, régional, national-mondial) et trois échelles temporelles (mois, année, décennies). Cela sera évidemment très liés au travail théorique décrit ci-dessus et passera par une enquête, la construction des indicateurs et conduira à la conception de la structure de Observatoire. Son déroulé comporte : * '''une enquête,''' menée sur trois territoires pilotes (deux Métropoles, une ville moyenne et un territoire rural). Elle comportera une phase de préparation (questionnaire, cibles); une phase de réalisation (les stagiaires qualifiés - niveau bac + 5 minimum - y contribueront); * '''l’identification des indicateurs''' et des données, * '''la construction du système d’indicateurs''' * et '''le maquettage''' de cette structure d’Observatoire de la Résilience. L’enquête portera sur 4 points qui sont détaillés en partie 4 mais résumés ici : * 1/ les communs ou besoins vitaux des habitants et des organisations du territoire ; * 2/ l’impact des mutations à la fois des forces matérielles (climat, ... ) et sociales ; * 3/ analyse des risques et de la résilience ; * 4/ les projets du territoire et des organismes Elle est menée sur ''trois échelles temporelles'' (mois, années, décennies) et auprès de ''trois types d’acteurs'' (entreprise, territoires, société) et ''trois échelles spatiales'' (local, régional, national- mondial). Elle visera à l’identification des indicateurs clés au regard des impacts des mutations et des objectifs de résilience et de solidarité. Ils se centreront sur les trois échelles temporelles, spatiales et les trois types d’acteurs. Les données correspondantes seront identifiées. Elle débouchera sur la construction de l’Observatoire de la résilience et de la solidarité qui permettra le suivi des actions au trois échelles spatiales et temporelles, les niveaux haut synthétisant les indicateurs de plus en plus globalisants. Une maquette de cet observatoire sera enfin proposée. == '''Chiffrage''' == === Les charges de la partie théorique et de la conception de l'Observatoire === Ces travaux seront réalisés par l'équipe projet (porteuse du Commun) avec l’aide de stagiaires qualifiés (de niveau Bac + 5 minimum) et de contributions bénévoles d’acteurs contribuant au Commun. L'équipe projet est composée de seniors spécialistes confirmés des risques et de la résilience, de l'approche globale (économie, écologie et social) membres d'Alters, du Cerema, de Résallience et de l'Académie de l'IE. Les frais de gestion correspondent à des frais de déplacements vers les trois territoires pilotes pour effectuer l'enquête, et des frais de communication. Les charges correspondantes sont présentées (en jours homme) sur le Tableaux page 7 sur https://wiki.resilience-territoire.ademe.fr/wiki/Fichier:Approche_Globale_R%C3%A9siliente_et_Solidaire_pour_les_territoires_et_les_entreprises_V3.pdf '''Demande de financement pour le Commun''' Voir Tableau des Charges et demande de financement pour le Commun page 8 sur https://wiki.resilience-territoire.ademe.fr/wiki/Fichier:Approche_Globale_R%C3%A9siliente_et_Solidaire_pour_les_territoires_et_les_entreprises_V3.pdf Le Planning présenté au point 5 détaille les grandes étapes du déroulement du Commun et illustrera la demande de financement. Chaque partenaire mettra à disposition des moyens matériels (salles) et humains (intervenants sur des sujets techniques relevant de ses domaines d’activité) == '''Justification de l'éligibilité''' == === Alters === Alters est un Think Tank (et un FabLab) cherchant à préparer la société face aux grandes mutations (climatiques, écologiques, sanitaires, économiques, ...) actuelles et pour les grandes transformations qu'elles appellent. Alters réunit de très grands Groupes (Veolia, Résallience, Vinci Insertion Emploi, Generali, MACIF, le CEREMA, RSU, la filière des Industries pour la Construction, CCI France …), des territoires et villes, des Universités et bénéficie du soutien appuyé du Ministère de la Transition Écologique. Alters appuie ses analyses sur une méthodologie d’approche globale, résiliente et solidaire des mutations et de la société. Alters veut traduire cette vision en lignes d’action dans divers champs spécifiques. === Le CEREMA === Le CEREMA œuvre dans le champ de l’expertise technique au plus près des territoires et accompagne au plus près la transition vers un développement plus durable ; outil mutualisé entre l’Etat et les collectivités territoriales, il bénéficie d’une implantation importante au sein des territoires, et d’une expertise avérée dans des domaines aussi complémentaires que les mobilités, l’habitat, l’organisation territoriale, les infrastructures ; son champ d’action transverse lui permet de développer une vision intégratrice en matière de développement de la résilience des territoires ; son activité de recherche et d’innovation, ses liens étroits avec des partenaires privés, son soutien au développement de sarts up en font un acteur majeur d’une approche globale, résiliente et solidaire des territoires ; cette démarche aboutira sur la mise en place d’une méthode et de modalités de travail partagés entre tous les acteurs, sortant des logiques de silo, intégrant une approche d’intelligence collective aboutissant à la rédaction d’un livre blanc partagé. === Résallience === RESALLIENCE est le bureau d’étude Vinci dédiée à l'adaptation des projets, des villes, des territoires, des infrastructures et de leurs usages au changement climatique. RESALLIENCE propose des solutions technologiques innovantes, de l’ingénierie intégrée et des modèles économiques adaptés au changement climatique. RESALLIENCE fournit des solutions techniques et digitales dans le domaine de l’adaptation au changement climatique, des diagnostics de vulnérabilité, des modélisations et des stratégies de renforcement de la résilience urbaine et des territoires. Notre expertise concerne notamment la résilience des infrastructures (routes et autoroutes, voies ferrées, ponts etc.) et des territoires exposés à différents aléas liés à l’environnement (inondations, feux de forêts, séismes, glissements de terrain etc.). Ainsi, RESALLIENCE se présente comme hautement qualifié pour fournir des solutions « clés en main » telles que la cartographie de la vulnérabilité, l’évaluation de la résilience des infrastructures et des systèmes urbains grâce à des indicateurs ainsi que des préconisations fonctionnelles et opérationnelles pour renforcer la résilience. Les partenariats institutionnels établis par RESALLIENCE : - Membre du groupe de travail « résilience des territoires et des infrastructures » mené par le Ministère de l’Environnement français et le Centre d’Etudes et d’Expertise sur les Risques, l’Environnement, la Mobilité et l’Aménagement (CEREMA). - Membre du groupe du travail « infrastructures et villes résilientes » et du Global ABC dirigé par le Programme des Nations Unies pour l’Environnement (PNUE). - Membre du Réseau et Centre des Technologies pour le Climat (CTCN) qui promeut l’accélération, la diversification et le transfert à grande échelle de technologies respectueuses de l’environnement pour l’atténuation et l’adaptation au changement climatique dans les pays en développement, conformément aux objectifs du développement durable. === L’Académie de l’Intelligence Economique === L’Académie de l’Intelligence Economique est une communauté de praticiens et de chercheurs qui inscrit son projet dans une dimension collective d’intérêt général, en s’ouvrant à tous les publics et en préservant à ses activités un caractère non lucratif, laïc et apolitique. L’Académie a pour mission de promouvoir l’intelligence économique du point de vue de l’entreprise et d' - Entreprendre des activités d'études, de recherche, de rencontres permettant de valoriser, promouvoir et diffuser un savoir-faire professionnel en Intelligence Economique et stratégique fondé sur les besoins concrets de l’entreprise. - Explorer les futurs possibles du monde contemporain, les enjeux majeurs de « la grande transformation » actuelles, à moyen et à long terme, les choix et les stratégies pouvant être adoptés face aux défis inédits. - Contribuer en ce sens au développement de réflexions, pluridisciplinaires et prospectives, de concepts et de méthodes repensées, dans tous les domaines concernés (fonction de veille géopolitique, économique, écologique, sociétale, technologique …) ; - Instaurer un forum professionnel permanent où pourront être exposées et débattues les points de vue sur les évolutions possibles des politiques publiques et stratégies des entreprises face aux enjeux actuels et à venir. - Apporter une contribution collective aux réflexions et aux actions des Pouvoirs Publics, ainsi qu’à toutes instances associées ou extérieures à l’Académie qui la solliciteraient dans le cadre de sa mission. == '''Financement post Appel à communs''' == L’initiative « Approche globale, résiliente et solidaire face aux grandes mutations » lancée le 11 mai 2021 par Alters, Résallience, l’Académie de l’Intelligence Economique, Alters Média et le Cerema est soutenue par des personnalités membres de : Ministère de la Transition Ecologique (Service du HFDS et Secrétariat Général) Ministère de l’Intérieur (IHEMI) Ministère de l'Intérieur (Secrétariat Général) CCI France Generali CEREMA Veolia Résallience Association des Maires Ruraux de France France Ville Durable CEA Cap Digital GFII Institut Rousseau Société Française de Prospective Fundazione di l’Università di Corsica Alters Média Institut Euclid CY Université MACIF IPAG Par ailleurs, '''les partenaires des trois réseaux ci-dessous apporteront leur soutien à l’initiative au-delà de la période de soutien qui pourrait être accordé par l’ADEME'''. * 1. Alters, Résallience, l’Académie de l’Intelligence Economique, Alters Média et le Cerema souhaitent que leur initiative soit par ailleurs reconnue comme un Commun par l’ADEME à travers l’appel à Communs lancé par celle-ci. * 2. Les associés de l’initiative du 11 mai ont déclaré vouloir apporter leur contribution au Commun d’Alters et ils poursuivront leur soutien au-delà de la période du Commun. * 3. Les Membres d’Alters eux-mêmes (Résallience, Vinci Insertion Emploi, Veolia, Generali, MACIF, le CEA); les réseaux spécialisés (CCI France, Société Française de Prospective, …) et des Universités (CY Universités, IPAG, Université Technologique de Troyes) soutiennent et continueront à soutenir au-delà du Commun tous les objectifs de l’initiative du 11 mai et ceux du Commun.  
[[Fichier:BudgetArboClimat.jpg|vignette]] '''Dépenses ''' : * BDD Sélection des essences * Outil Arboclimat V2 * Manuel d'utilisation * Exploitation sur SIG * Animation wiki (communauté) * Webinaires (3) * Comité technique * Tutoriel SIG * Conception Site internet dédié * Conception formation * Expérimentation formation * Accompagnement de collectivités pilotes Financement par des collectivités territoriales : 27 840 €  +
Vous trouverez le '''Plan de financement d’Archipelago''' [https://docs.google.com/spreadsheets/d/1Uys_B31Ob0D41VBb3VUBcWMInHPwsoG2o8ChqablXwI/edit#gid=0 sur le premier feuillet de ce tableur]. Nous le développons depuis plusieurs années '''sur fonds propres''', grâce au travail bénévole de sa communauté, et à des prestations réalisées par les partenaires de l’Assemblée Virtuelle : Nous sommes en train de structurer cette dynamique de collaboration décentralisée au sein d’un processus nommé “'''Open Roadmap'''”. Celui-ci doit nous permettre d’identifier qui développe quoi, qui finance quoi, qui utilise quoi, et surtout de concevoir des stratégies de co-financement et de co-développement. Les partenaires commerciaux reversent par ailleurs une '''contribution au commun''' au titre de l’exploitation commerciale qu’ils en font. Ils contribuent ainsi à assurer la maintenance du logiciel et la R&D autour du projet. La subvention que nous sollicitons est destinée à financer '''un investissement sur le cœur de la solution logicielle''', que nous ne pouvons faire porter dans son intégralité sur les communautés d’utilisateurs. Post appel à communs (mais également au cours de la période de financement), le modèle économique d’Archipelago sera ainsi basé sur les éléments suivants : * Outre des '''subventions d'investissement''' destinées à redevenir inférieures à 30% du global ; * Des '''contributions en nature''' en provenance des bénévoles et partenaires prestataires de l’Assemblée Virtuelle (structurées au sein de l’Open Roadmap) ; * Des '''contributions au commun en numéraire''' en provenance des partenaires commerciaux de l’Assemblée Virtuelle ; * De la '''vente - non exclusive - d’hébergements''' de PODs (Personal Online Datastore), de CODs (Collective Online Datastore) et de OODs (Open Online Datastore) - voir section Réalisation du commun - sur le modèle des Chatons ; Afin de maximiser nos chances d’être sélectionnés, nous sollicitons '''une aide d’un montant de 60 000€''' correspondant à environ 40% du coût total du projet. '''Néanmoins''', nous nous permettons de suggérer qu’un financement à hauteur de 75 000 ou de 100 000€ ne serait pas déraisonnable au vu du caractère ambitieux du projet et d’un volet R&D / développement expérimental qui pourrait lui permettre d’être financé sur des fonds dédiés.  
B
Notre demande de financement pour ce commun s’inscrit dans un projet plus large de réponse aux besoins de communautés oeuvrant dans le domaine des transitions, avec comme point de départ les Jardiniers du Nous (JDNs) et les Chemins de la Transition (CDLT), qui a commencé par le financement d'une étude de faisabilité et d'un '''premier prototype''' par ces 2 associations en décembre 2022. Depuis janvier 2023, le CIBC Normandie a contribué à hauteur de 2 jours de travail, JDN et CdlT ont contribué à hauteur de 4 jours de travail chacune. Nous avons par ailleurs appris début mai l'attribution d'une bourse de 24 000€ de la part de [[nlnet.nl/|NLNet]] ( financement européen), pour permettre de créer facilement des applications sur [[ActivityPods]], un framework basé sur la boite à outils [[SemApps]] qui constitue le socle logiciel d’[[ActivityBadges]]. Sans cet apport fondamental, nous ne pourrions pas créer cette application ActivityBadges à aussi bas coût. '''Le modèle économique post-financement de l'ADEME envisagé est le suivant''' : - l'accès au service et au code sera libre et gratuit. - l'accès aux ressources utiles, de sensibilisation et pédagogique, sera libre et gratuit. - des ambassadeur.ice.s / utilisateur.ice.s bénévoles passionné.e.s sensibiliseront sur les territoires. Ce réseau d’ambassadeur.ice.s sera facilité par JDN. - Les besoins en accompagnement de nouvelles structures, collectifs et territoires seront monétisés. Une partie des bénéfices sera reversée à la structure porteuse pour financer les coûts de maintenance et les futurs développements du service. Nous n’avons pas encore évalué le potentiel de développement de l’application, nous nous sommes focalisés sur la réponse aux besoins des deux communautés fondatrices du commun. Nous constatons cependant un vif intérêt sur les territoires et organisations auxquels nous en parlons, ainsi que le montre une tribune offerte en plénière lors du forum Reconnaître Open Recognition Alliance qui réunit les acteurs de la reconnaissance ouverte français. Voici par ailleurs [https://docs.google.com/spreadsheets/d/1S_FPm0Nrfuek7eWx85K4oWXxeuG481qCnkRD3BbLgAs/edit?usp=sharing un tableur qui vous permettra de connaître les détails du plan de financement, du chronogramme et des autres partenaires].  
Le budget total du projet s'élève à 162 400€. Ce budget est découpé selon la répartition suivante : - QuotaClimat : Rémunération d'un demi temps-plein (profil senior) sur 12 mois pour coordonner le projet et organiser la communication grand public des résultats : 50 000€ - QuotaClimat : Gestion des frais annexes liée à la création graphique (site internet et réalisation de supports visuels) et frais de communication : 8 000€ - Data For Good : Rémunération d'un développeur freelance (identifié car porteur bénévole du projet actuellement) sur l'équivalent d'un 2 mois temps plein (800€/jour) : 35 200€ - Mediatree : Mise à disposition de la donnée, coût mensuel TTC (600€) sur 12 mois, soit 7 200€ - Eleven Strategy : Mentorat étudiant, conseil et accompagnement technique (30 jours x 500€/jour) : 15 000€ - Expertises Climat : Participation au comité de pilotage, conseil stratégique pour l'identification des besoins d'analyse puis contribution à l'analyse des données, échanges avec les médias au sujet du baromètre, présentation des conclusions à la communauté des chercheurs intervenant dans les médias, animation des échange avec des chercheurs spécialisés en sciences de l'information) (30x500€/jour) : 15 000€ - Pour plus de climat dans les médias (Climat Médias) : Rémunération d'un demi temps-plein (profil junior) sur 12 mois pour faire la liaison avec le monde académique de la recherche, avec le monde médiatique en cohérence avec les autres partenaires et participation à la réflexion de l'élaboration du baromètre : 32 000€ Le plan de financement repose sur : - un cofinancement de l'Ademe à hauteur de 113 680€ (objet du présent appel à projet) - un soutien en cours d'étude de l'ARCOM - un co-financement d'Expertises Climat à hauteur de 30 000€ pour moitié en temps homme pour couvrir sa propre participation au projet - l'appel à projet Alternatives vertes II du ministère de la Culture - d'autres pistes de co-financement complémentaires seront étudiées par le collectif. Une fois la période de 12 mois écoulée et le baromètre consolidé, nous envisageons de faire perdurer le commun grâce aux communautés bénévoles déjà existantes, qui portent désormais la première version de l'outil (en état de marche et de développement) depuis septembre 2022, soit plus de 8 mois.  
1.1. Cout du projet 1.1.1. Choix des matériaux à caractériser La première tâche consistera à choisir les matériaux à caractériser. Ce choix se fera lors de réunions de travail entre le LMDC, EGIS et Toulouse Métropole. Les matériaux à choisir, les échantillons fournis ou à prélever et les lieux de mesures seront définis conjointement. 1.1.2. Mesure des propriétés thermo-physiques Le déploiement d’une première série de mesure sera porté par le service transfert du LMDC. Sont prévu pour chaque matériaux : <br> - le sciage et la rectification pour obtenir des échantillons dont la taille et l'état de surface soient adaptés ; <br> - la mesure de la masse volumique apparente (séchage à 105°C puis dimensions mesurées au pied à coulisses) ; <br> - la porosité accessible à l'eau (pesée après dessication) ; <br> - la mesure de la conductivité thermique (plaque chaude gardée pour une température de 40°) ; <br> - la mesure de l'effusivité et capacité thermique volumique (plan chaud symétrique ou DSC) ; Si nécessaire, une étape de carottage pourra être envisagée pour collecter des échantillons sur site. 1.1.3. Mesures des propriétés radiatives Pour les mesures des propriétés radiatives, des couts d’achat de matériel doivent être prévus, ainsi que des couts de personnel pour la prise en main de ce matériel, la mise au point de protocoles de mesure, la réalisation d’essais, la rédaction de rapports. En plus de l’implication de personnels permanents, nous prévoyons le financement d’un stage de master 2. '''Le cout du projet est estimé à 160 000 € TTC et le montant demandé à l'ADEME est de 75 000 €. Le tableau ci-après détaille la répartition sur les différents postes.''' [[Fichier:Tableau.png|vignette|Tableau des couts du projet]] 1.2. Planning prévisionnel Le projet démarrera au mois de juin 2024 et se terminera au mois de juin 2025. Le détail du planning est présenté dans la figure ci-contre. [[Fichier:Planning du projet Thermurba.png|vignette]]  +