Mise en Quarantaine Citoyenne

De Résilience des Territoires
Aller à :navigation, rechercher



Méthodologies pour décortiquer collectivement nos environnements de vies et de pratiques

💼 Porté par Les Chaudronneries


Description : Les Mises en Quarantaine Citoyennes ont pour vocation d'interroger collectivement nos modes de vies et de pratiques. Elles visent à comprendre le fonctionnement et les enjeux écologiques enchevêtrés dans les objets quicomposent nos vies.

Chaque objet est décortiqué via des processus inspirés des "conférences citoyennes" ou "forums hybrides". Sur une année, à travers des temps d'enquêtes, de documentation, d'expériences collectives et d'événements publics, les Mises en Quarantaine Citoyennes déconstruisent plus particulièrement les objets qui semblent poser problème socialement, économiquement et écologiquement parlant. Ainsi, les objets suivants peuvent par exemple y être décortiqués : le smartphone, la monnaie, un aliment, la voiture, un vêtement, un média…

Co-organisés et co-conçus avec les habitants et acteurs locaux, ces processus visent à développer collectivement notre esprit critique et nos capacités d'analyse pour nous donner les moyens d’agir avec pertinence et précision sur nos environnements quotidiens. Le projet répond également à la difficulté que nous avons de nous orienter dans les innombrable flux d'information que nous recevons au quotidien à travers les médias, les politiques et les scientifiques. Nous pensons que les transitions écologiques (sociale, économique et environnementale en particulier) ne se feront pas sans une construction commune des grilles de lecture et d'analyse.

Le projet de commun est donc de développer une méthodologie d'analyse collective basée sur des dispositifs issu d'une approche de Design et sur le croisement de savoirs complémentaires (en terme d'usages, de perceptions, d'intérêts, d'expériences, de cultures notamment). Explication des complémentarités de savoirs plus bas dans la rubrique "autodiagnostic".

La méthodologie est autant basée sur la connaissance par le savoir que par la pratique et par le détournement.

Organisations utilisatrice ou intéressée par utiliser la ressource :

Contributeurs : Matthieu Marchal, Adel Ourabah, Vania Dormoy, Arnayd Freycenon, Lise Corcelle, Roberto Barbanti, Valérie de Tilbourg, Fanny Prudhomme, Candice Hayat, Helène Elois Blezes, florianne leroux, Marie Paysant-leroux, Fabienne Pourtein, Yannick Ribeault, Rancia Zinga, Dalila Lalouni, Melanie Fioleau, Hélène Degranpré, Céline Viardot

Défi auquel répond la ressource : 1- Connaissances - Ressources, Objectifs et Diagnostic (défi 2021), 3- Gouvernance

Autre commun proche :

Richesse recherchée : Cas d'usages, Financement, Expérimentation, Contributeur - Communauté

Compétences recherchée : Général/Critiques, Vulnérabilités/Sociale

Communauté d'intérêt :

Type de licence ?

Niveau de développement : Preuve Concept & 1er client

Cloud / Fichiers :

TYPOGRAMME.jpg

Indiquer la localisation pour voir la carte

Tags : recherche citoyenne, cooperation territoriale

Catégories : Connaissance

Thème : Général/Approches, Général/Critiques, Vulnérabilités/Ecosystémique, Vulnérabilités/Sociale, Vulnérabilités/Economique, Vulnérabilités/Culturelle, Facteurs de résilience/Gouvernance, Facteurs de résilience/Culture, Facteurs de résilience/Economie, Facteurs de résilience/Infrastructure, Facteurs de résilience/Instruments, Anticipation/Prospective, Gestion de crise/Enjeux, Gestion de crise/Dispositif, Regénération/Innovation

Candidat Appel à Communs :

Référent ADEME : Matthieu Marchal

Référent du commun : Matthieu Marchal


Les 5 parties ci dessous sont à remplir obligatoirement pour analyser le commun et vous conseiller

Candidat Appel à Communs : candidat 5 Nov

Montant Aide souhaitée (en Euro) à l'Appel à Communs Sobriété et Résilience : 23000

1.Détails du Financement :

Le projet demande la mobilisation de nombreux praticiens et spécialistes en fonction du sujet (objet) à décortiquer. Il mobilise également des facilitateurs et designers pour concevoir les outils et dispositifs permettant la contribution de publics hétérogènes. Ainsi pour l'année 2022, il s’agira de co-contructuire les méthodologies, outils et dispositifs de la Mise en Quarantaine Citoyenne. Le plan de financement suivant a été établi :

Budget total 2022 : 66 679 € Il comprend le cout humain (designer, experts, praticien, facilitateurs, coordination) : 53 250 € Il comprend le cout matériel et logistique : 9 229 € Il comprend le cout administratif : 4200 €

Fondation de France (via réinventer les communs pour amplifier l'écologie) : 23 000 € ADME (appel à commun) : 23000 € Ville de Montreuil : 5 000 € Est-Ensemble (EPT) : 5 000 € Département Seine Saint Denis : 6 000 € Fonds propres de l'association : 4 679 €

2.Détails Sobriété et/ou Résilience des Territoire :

La prochaine Mises en Quarantaine Citoyennes se focalisent sur le territoire Montreuillois : - Quartier la Noue à Montreuil (année 1-2) - Quartier Bel-Air Grand Pêchers (année 3)

L'enjeu de la démarche est de veiller à sortir la recherche des laboratoires de recherche et de l'ancrer concrètement dans les réalités des territoire vécus. Il s'agit de co-chercher avec les habitant.e.s et acteur.trice.s locaux.ales. Notre implication sur ce territoire montreuillois, et plus largement en Seine Saint Denis, facilite ce travail de médiations et de relations. Pour cette année de co-construction, la Maison départemental du parc des Guillands dans le quartier de la Noue est notre point d'ancrage. La mobilisation, les recherches et les résultats se concentrent essentiellement dans un périmètre de 1,5km à la ronde.

Les Mises en Quarantaine Citoyennes, abordent les communs et l'écologie à partir d'Objets couramment utilisés dans nos sociétés (voiture smartphone, monnaie...). Pour chaque sujet, elles évitent de cloisonner la recherche à une science ou un type de savoir. Elles travaillent particulièrement sur les questions d’interrelation entre les savoirs, les disciplines et les milieux. La vocation première de ce dispositif est de donner des outils critiques et d'action plus que d'obtenir des résultats scientifiques probants (même si elle y contribue). Elles cherchent à être un contre-point aux flux d'informations que nous captons tous les jours passivement (radio, tv, magazine...) et sur lesquels nous sommes censés prendre parti, décider, voter, etc. (Bruno Latour, "Nous n'avons jamais été modernes"). Les Mises en Quarantaine Citoyennes sont donc une sorte de plateforme d'échauffement et d'entrainement face au monde qui vient : savoir trouver l'information, chercher les données, classer, déduire, raisonner puis inventer, négocier et faire avec d'autres milieux, innover ensemble. C'est de cette manière que nous pensons la résilience territoriale. Une approche qui concentre la majeur partie de ses efforts aux questions sociales et aux jeux d'acteurs qui freinent - voir empêchent - toute action concrète. D'autre part, cette attention est particulièrement porté vers les personnes invisibilisées, précarisées ou laissées de côté dans les décisions en matière d'écologie et de transformation.

Nous sommes tous et toutes issu.e.s d'histoires et d'expériences singulières. L'économie marchande comme les structures de savoirs et comme le monde du travail nous poussent à rentabiliser nos échanges. Cela à notamment pour conséquence la hiérarchisation des individus entre eux mais également des êtres vivants. Le projet des Mises en Quarantaine Citoyennes, attelé avec une structure comme les Chaudronneries, cherche à modifier à son échelle ces postures et comportements. Elle souhaite établir de nouvelles façons de penser la connaissance à partir d'une approche complémentaire et non opposée. Ainsi les savoirs vécus, les savoirs d'actions et les savoirs académiques se nourrissement sans cesse et sans hiérarchisation sociale discriminante.

Formellement il s'agit : - de mener collectivement des enquêtes sur le terrain et à travers de la recherche documentaire - de mener des ateliers et rencontres collective permettant l'analyse, de sourcing et la classement de données. - de co-construire et d'utiliser des "cartes écologiques" permettant de visualiser dans l'espace les relations et enjeux lié au sujet. Ces cartes sont au cœur de la méthode et sont penser en partenariat avec une équipe de designer, de pédagogue et d'ingénieur. - de mettre en pratique ce qui est observer pour éviter d'avoir une approche éloignée des sujets. Ainsi, il est recommandé de mener des expériences immersives dans le sujet. - de mener des ateliers permettant la création collective à travers des méthodologies issue des arts et du design notamment. - de mise en situation sur le terrain auprès de publics et bénéficiaires pour tester et éprouver les concepts et idées imaginés dans les ateliers. - de réaliser des publications permettant l'appropriation et la critique du processus et de ses résultats par le plus grand nombre. De cela, il est prévu des interventions dans différents milieux pour présenter et ouvrir la démarche à d'autres.


- - - - - - - Les objectifs généraux du projet de commun peuvent se résumer comme ceci :

1. Donner des cadres de dialogue et de connaissances hors des structures académiques et conventionnelles du savoir et de la science. 2. Permettre la réappropriation des sujets contemporains par les populations (particulièrement en lien avec les questions écologiques) et éviter ainsi l'emprise unique des canaux médiatiques et marketing dominants. 3. Redévelopper et entretenir le sentiment de "communs" ; Donner les moyens méthodologiques et organisationnelles pour penser et produire en commun. 4. Inciter à l'action et l'implication des populations en matière de questions sociales, économiques et environnementales (3 domaines indissociables quels que soient les sujets traités).

À terme : Nous souhaitons créer un établissement dédié à ces démarches de co-recherche et co-apprentissage.

3.Détails Impacts environnementaux :

Les Mises en Quarantaine Citoyennes mettent en lumière la complexité des imbrications techniques, humaines et les ressources naturelles/énergétiques qu'elles sollicitent. Énergies fossiles, métaux précieux, terre agricole, forêts, eau sont parmi les plus clairement identifiables dans presque tous les processus productifs que les Mises en Quarantaine Citoyennes vont analyser. Le travail de décryptage collectif pourra nous amener autant à questionner l’épuisement d'une ressource à proprement parler que les modes d'organisation et de gestion humaine. Par conséquent, l’épuisement psycho-social des populations, les effets sur le comportement humain et les mécaniques sociales y sont largement débattus également. Nous pensons l'écologie à partir des principes exposés par Félix Guattari et Gilles Deleuze qui développent le concept des 3 écologies (écosophie). Félix Guattari y affirme notamment que les questions de d’environnement, d'économie, de social et de psyché ne peuvent pas être dissociées si l'on veut vraiment parler d'écologie et agir à ce tire. Notre travail s'attelle donc à décortiquer plusieurs plans à partir d'un même sujet. En amont, il nous est donc difficile de définir précisément quelles ressources sont impactées.

Le dispositif des Mises en Quarantaine Citoyennes cartographie l'objet à décortiquer. Ainsi, avec les participant.e.s-contributeur.trice.s et expert.e.s, nous élaborons ensemble le schéma de gestion des ressources, de relation et de gouvernance. Nous y intégrons également les techniques à l'oeuvre dans la fabrication des Objets analysés. A la fin de ce travail nous obtenons ce que nous appelons une "carte écologique de l'objet".

Le processus vise à mobiliser des acteurs et habitants locaux dans une approche d'abord cognitive. En comprenant mieux les imbrications d'effets et les impacts entremêler nous pensons donner les moyens d'agir avec justesse à l'échelle de vie de chacun.e.

4.Synthèse du projet de Commun :

Expérience du porteur : Les Chaudronneries est un lieu dédié aux questions de coopérations territoriales et aux manières dont les groupes d'individu s'associent ensemble pour construire des réponses aux problématiques qu'ils rencontrent. Depuis 6 ans, nous menons divers actions auprès de contributeurs et bénéficiaires très varié. Matthieu Marchal, fondateur et directeur de l'établissement, a une expérience significative dans le domaine puisqu'il accompagne des initiatives collectives engagées depuis 18 ans. Avec cinq autre chercheurs, artiste et ingénieur de projet culturel, il est notamment à l'initiative d'un groupe de recherche-action nommé "pour une écologie du travail collectif" qui question et met en pratique les notions de commun. Ensemble ils ont cherché à démontrer l'importance des dispositifs d'échange et d'une réflexion sur les systèmes techniques qui influence le comportement des groupes (mode de décision, prise de parole, tension...).

Informations liées au Commun et au problème identifié : Notre commun est avant tout cognitif. Il s'agit de développer des méthodologies pour comprendre le monde qui nous entour, ses systèmes techniques et les enchevêtrements d'effets qu'ils comportent. Cette approche que nous pouvons qualifier "écosophique" (Felix Guattari, les 3 écologies), cherchent à répondre à un problème majeur dans la transition écologique : commun partager les constats et faire des choix capables à la fois d'agir concrètement dans le sens de transitions durables et à la fois de ne laisser personnes de côté ? Tous les choix en matière de transformation et changement de comportement (industriel notamment) provoquera la contestation et opposera les individus. Il nous semble urgence d'apprendre à discuter, négocier, créer et décider ensemble. Les flux d'information (médias, réseaux sociaux, revues, messagerie instantanée...) nous empêche d'adopter des postures critiques ouvertes et constructive. Elles ont tendances au contraire à cristalliser nos peurs, elles nous renferment et clivent les groupes d'individus. Pour que nous puissions efficacement et soigneusement "transitionner", nous devons reprendre ensemble la main sur nos systèmes cognitifs et les façons dont les informations nous parviennent. Nous pensons donc qu'il est urgence de développer des dispositifs appropriables pour co-apprendre à analyser, observer, comprendre et déduire. Poser les critères et les grilles d'analyse ensemble sont des conditions indispensables pour toutes transitions écologiques concrètes.

Actions et planification 2022 : 1. Échauffement : co-conception des méthodes de mobilisation publique (acteurs relais sur le territoire choisi). Janvier 2022 / Format atelier sur 2 jours. + Création du prototype de la "carte écologique" et test avec l'équipe de designer. — 2. Rencontre informel : tour des associations et acteurs locaux pour rencontrer leurs publics/bénéficiaires via leur programme d'activité. Mise en situation rapidement pour les initier et les sensibiliser à la démarche. février à mars 2022 / — 3. Petites actions de recherche collective : Mise en place de plusieurs petit ateliers de travail avec les habitants et acteurs locaux mobiliser (environs 5 à 7 groupes, chacun dédié à une partie du sujet à décortiquer). Chaque groupe constitue sa propre carte écologique à partir de l'angle qu'il aborde. avril-mai 2022 / — 4. Travail de collecte et de mise en relation. A la suite des "petites actions de recherche collective", une équipe de volontaire appuyer par des designers rassemble la matière et les données, cherchent à étayer et sourcer les constats poser par les groupes. avril-mai 2022 / — 5. Grand événement de recherche citoyenne (2 jours ou 3 jours selon les besoins) : Confrontation des cartes écologiques pour la création d'une carte principale ; identification collective des grilles d'analyse du sujet ; identification de "ce qui nous pose problème" ; recherche de réponse à travers des approches singulière (intervention artistique, méthode de design, méthode scientifique, méthode cognitive...) ; consolidation des propositions. juin 2022 / — 6. Petites actions de recherche collective : Re-mise en place de plusieurs petit ateliers de travail avec les habitants et acteurs locaux mobiliser (environs 5 à 7 groupes, chacun dédié à une partie du sujet à décortiquer). Cette fois-ci chaque groupe cherche les moyens d'appliquer et tester les propositions dans le réel. Cette phase méthodologique s'appelle "négocier avec le réel". En resort des principe d'action et de déploiement. septembre-octobre 2022 / — 7. Grand événement de recherche citoyenne (2 jours ou 3 jours selon les besoins) : Mise en place concrète d'expérience permettant de tester les propositions dans le terrain et le quotidien. Cette mise en place fait l'objet de nouveau partenariat avec les acteurs locaux et les habitants. A la fin une journée de constat et d'observation est organiser. novembre 2022 / — 8. Publications gesticulées : A l'aide d'outils créer pour l'occasion, les groupes de volontaire présente le processus, les constats et les observations auprès d'autre structure et autre public afin de nourrir d'avantage la démarche et de la rendre accessible à d'autre. ... 2023 /

5.Autodiagnostic :

Définition du problème : Définis par une communauté d'une 20aine de personne pour le moment.

Contributeurs prêts à travailler sur ce Commun : 4 structures local (quartier de la Noue à Montreuil et Bagnolet), 3 agents et élus territoriaux et une 10aine de poteurs de projet se sont manifestés.

Structuration des contributeur : Aucun structuration juridique contractualise les groupes de contributeur entre eux. Chacun est cependant dépend d'un structure juridique qui leur est propre.

Besoins exprimables : Oui

Ancrage territorial : Le projet de commun est déjà très ancrer car il s'appuie sur un quartier précis. Acteurs locaux, agents et élus sont déjà informer. Certain apporte leur soutient technique, financier et/ou son impliqués concrètement dans la démarche.

Mobilisation et Implication de parties prenantes de milieux et de pratiques diversifié : Le projet de commun toute son approche sur le croisement des savoirs. Ce principe peut se détaillé comme ceci : LES SAVOIRS VÉCUS > Il s'agit ici des personnes et groupes de personnes qui vivent ou subissent les effets de l'objet en question. Mobilisation = par le biais des associations et des organismes publics qui travaillent déjà avec ces personnes. Nous rentrons en relation via des médiateurs, via les événements ou les lieux qu'ils fréquentent. La relation est souvent longue à construire (de 6 à 9 mois minimum). LES SAVOIRS D'ACTION > Personnes ou groupes de personnes qui pratiquent activement l'objet ou travaillent déjà à en résoudre les effets problématiques. Ici, nous souhaitons mobiliser autant des acteurs critiques, parfois engagés contre l'objet et ses effets, que des acteurs profitant ou exploitant l'objet. La médiation et la mise en dialogue y est un enjeu fondamental. Mobilisation = il s'agit ici des associations, des acteurs publics et des entreprises privées liés de près ou de loin à l'objet étudié. Ils sont contactés directement par mail ou téléphone et sont invités à venir nous rencontrer directement. LES SAVOIRS ACADÉMIQUES > Personnes ou groupes de personnes qui réfléchissent l'objet et ses impacts, qui développent des hypothèses et théories sociales, économiques ou écologiques. Ils ont déjà travaillé à documenter l'objet et les milieux sociaux qui gravitent autour. Ils enseignent et publient sur le sujet. Mobilisation = Il s'agit de chercheurs, enseignants, essayistes, étudiants et parfois de journalistes. Ils sont contactés directement par mail ou téléphone et sont invités à venir nous rencontrer directement. LES SAVOIRS DISTANTS > Il s'agit de personnes ou groupes de personnes qui sont à priori éloignés de l'objet et des effets. Tout du moins ils n'ont pas tout à fait identifié le rapport qu'ils entretiennent avec cette objet, ni même identifié les effets problématiques de celui-ci. Mobilisation = communication grand public.

Dans tous les cas, nous priorisons une approche située, c'est à dire une mobilisation et une implication avant tous des personnes vivants ou travaillant sur le territoire d'étude.


Besoins pour passer à l'étape suivante : Conseils sur le sujet des communs et la résilience : sur ces deux aspects nous sommes intéressés à échanger sur notre approche et à augmenter nos visions grâce à des exemples et expériences d'autres porteur.euse.s. Mentorat : un suivi des méthodes de recherche pour confirmer et préciser les processus collectifs de recherche, nous aider à sourcer et constituer les corpus nécessaires au travail. Cet aspect est en partie pris en charge par les contributeurs former à ces questions. Un appui supplémentaire serait idéal. Accès à des données et accès à des cas d’usages : Cet aspect est en partie pris en charge par les contributeur former à ces questions mais demandera l'appui d'acteurs relais proche des données et des cas à récolter. Besoin d’expérimenter en situation “réelle” (usager, infrastructures) : Ce besoin est comblé en grande partie par nos expériences, nos métiers et notre ancrage territoriale fort. Des contributeurs et d’autres parties prenantes : L'intégration de nouveau contributeurs et intervenants serait un vrai plus. Accès à des financements : le projet demande une mobilisation humaine importante nécessitant du budget. Oui, un accès à des financements est essentiel pour porter ce commun correctement et visé des impacts significatifs.

La réalisation du projet de commun sélectionné :

6.Réalisation du projet de commun:



Liste des CR d'atelier en lien avec ce Commun Mise en Quarantaine Citoyenne: aucun pour le moment


Suivi des actions

Search actions Add an action See this page for more information
Open
+ A faire0
+ En cours0
+ Fait0